Les ambassadeurs

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Ils aiment la Baie de Saint-Brieuc, participent à son rayonnement et souhaitent en faire la promotion au delà de ses frontières, voici les ambassadeurs de la Baie de Saint-Brieuc.

A la Vieille Tour, restaurant étoilé depuis 19 ans, le chef Nicolas Adam propose une gastronomie entre terre et mer pleine de saveurs. Le chef se réjouit de la richesse des produits locaux qu’il se plaît à préparer pour les habitués et les clients de passage qui viennent passer un bon moment au port du Légué dans ce décor contemporain. Mais le chef est aussi très fier du concept du Pørtland by Nicolas Adam. Un concept innovant qui regroupe boulangerie, restauration légère, café, brunch. Une boutique qui anime le port l’été et les week-ends tout au long de l’année et participe fortement à l’âme du port aux commerces hauts en couleurs.

La Vieille Tour est un restaurant étoilé depuis 19 ans. Je trouve ici une richesse exceptionnelle en produits.
C'est un territoire à dimension humaine où tout est possible.

Restaurant la Vieille Tour

75 Rue de la Tour I Port du Légué
22190 Plérin

 02 96 33 10 30

 www.la-vieille-tour.com

Portland by Nicolas Adam

5 Rue Adolphe le Bail I Port du Légué
22190 Plérin

 02 96 68 41 97

 Pørtland by Nicolas Adam - Boulangerie Pâtisserie Trattoria Coffee

 

Mathieu Aumont participe au dynamisme et au rayonnement du territoire. Un territoire qu'il affectionne particulièrement et ce pour plusieurs raisons.

Attaché à la qualité de vie que lui offre la Baie de Saint-Brieuc -"entre toutes ses vallées, la mer, le port du Légué"-, mais aussi à ses producteurs qu'il valorise chaque jour dans sa cuisine à travers leurs produits "la Saint-Jacques, l'ormeau, les maraîchers avec les herbes, l'endive de pleine terre, la betterave". Mathieu Aumont est fier d'être ambassadeur de la Baie de Saint-Brieuc, il a toujours eu à coeur de défendre son territoire.

Aux Pesked

59, rue du légué
22000 Saint-Brieuc

 02 96 33 34 65

Aux Pesked : Restaurant étoile à Saint-Brieuc

Mathieu Aumont, chef étoilé

Formé dans les clubs nautiques de la Baie de Saint-Brieuc, Maël Garnier, Pordicais d’adoption, a démarré la voile à 4 ans et a navigué entre les centres nautiques de Tournemine (Plérin), de Saint-Quay-Portrieux et des Rosaires (Plérin). «  La Baie de Saint-Brieuc est un terrain de jeu exceptionnel, varié et technique, qu’il faut préserver et mettre en avant. Ici, il y a tous les éléments – le plan d’eau, les clubs, les compétences techniques – pour apprendre la voile en régate et au large. Ce n’est pas pour rien que de grands skippers ont été formés dans la baie : Anthony Marchand, Yann Eliès, Thomas Coville, Ronan Treussart…  »

Maël a participé à sa première Solitaire du Figaro du 22 août au 19 septembre 2021, il se consacre pour l’instant au Figaro 3. «  J’ai la chance que mes partenaires me suivent encore pendant trois ans  », se réjouit Maël. Jeune étudiant en troisième année de licence de physique à Brest il fait des projets à plus long terme. Son rêve : «  Devenir architecte de voilier, construire mon propre bateau pour me lancer dans le Vendée Globe en 2032.  »

Champion du monde de kickboxing(1) en titre, le Briochin Jordan Lépinay a récemment décidé de ne se consacrer qu’à son sport.

Jordan Lépinay, 27 ans, affiche un palmarès hors normes en kick-boxing. Il a été titré 11 fois champion de France et a remporté deux Coupes du monde en amateur. Passé professionnel en 2016, il enchaîne les succès : champion de France, deux fois champion d’Europe... Jusqu’à la consécration en 2019, année où il remporte le championnat du monde de kickboxing, chez lui, à Saint-Brieuc. Titre qui doit être remis en jeu début 2022.
S’il s’est installé depuis peu à Paris pour intégrer une équipe de professionnels, Jordan Lépinay est un Briochin pur jus. Il grandit aux Villages et à La Croix Saint-Lambert. Il fréquente l’école Sainte-Marie et les collèges Saint-Pierre et Le Braz avant de rentrer au CFA de Plérin, en troisième, pour passer son CAP couverture.
La boxe, il ne sait plus vraiment quand il a commencé. Il se souvient juste que lors de sa première compétition, il avait 6 ans. Son père, champion d’Europe de kick-boxing en 1997, a pourtant tenté de l’orienter vers d’autres sports, comme le foot et le hip-hop. «  Mais on a la boxe dans le sang  », sourit Jordan Lépinay dont les deux frères et la maman ont pratiqué ou pratiquent le kick-boxing. Pour autant, le jeune homme considère qu’il n’a pas de don. «  J’ai dû beaucoup travailler pour arriver à un bon niveau.  »
«  J’incarne la réussite par le sport et par l’effort, l’attachement à un territoire : la Bretagne et la baie de Saint-Brieuc  », assure celui qui est devenu, en juin, le premier sportif individuel partenaire de la marque Bretagne. Il est aussi soutenu par l’Agglomération. «  Jordan est un bel exemple pour les jeunes de nos communes par son projet sportif, mais aussi par son engagement auprès des mineurs en insertion  », estime Ronan Kerdraon, Président de Saint-Brieuc Armor Agglomération. «  Avec l’éducation que j’ai reçue, je n’aurais pas mal tourné, mais la boxe m’a apporté une sérénité, m’a donné une voie  », conclut celui qui compte bien conserver sa ceinture, mais aussi conquérir le titre mondial au Glory. Son plus grand souhait : que le kick-boxing devienne discipline de démonstration aux J.O. de Paris 2024.
(1) K1 Rules ISKA Pro.

Jordan Lepinay, boxeur

Hugo Mahieu, Parisien d'orgine a fait ses premiers stages de voile au Pôle nautique Sud Goëlo.
«  Toute l’année, je n’attendais qu’une chose : un grand week-end ou des vacances pour faire du bateau. D’ailleurs, dès que j’ai passé mon monitorat de voile, à 17 ans, je me suis installé à Saint-Quay-Portrieux.  »

Fier d'être ambassadeur de la Baie de Saint-Brieuc, où il aime naviguer "le terrain de jeu ici est propice à des navigations tout au long de l'année que ce soit sur des bateaux habitables, des dériveurs, ou en planche à voile." Hugo Mahieu vient de recevoir son bateau, un 6,50 m. Son objectif : participer à la Mini Transat en 2023. Cette course en solitaire et sans assistance qui relie Les Sables d’Olonnes aux Canaries et les Canaries à Saint-François (Guadeloupe) représente «  le baptême du feu de la course au large  ». «  C’est une épreuve semi-professionnelle qui me permet de continuer de travailler à Delta Voiles (Pordic), voilerie qui est mon premier partenaire technique  », précise le jeune homme, soutenu par la Ville de Saint-Quay-Portrieux et ses commerçants. À terme, ce dernier s’imagine sur des Figaros ou des Class 40. «  Mais il ne faut pas brûler les étapes  », tempère-t-il.  

Anthony Marchand a grandi Pointe du Roselier, à Plérin, avec la baie pour panorama : une vue à 180 degrés sur la Manche, le port du Légué, Hillion et au loin, Pléneuf-Val André et l’îlot du Verdelet. Un cadre de vie de marin. Après s’être essayé au foot, au judo... «  c’est grâce à l’école [qu’il] découvre, vers 9 ans, la voile et les sports nautiques  », raconte le jeune trentenaire.

Ses parents l’inscrivent alors au centre nautique de Plérin où il navigue d’abord sur Optimist (de 10 à 15 ans), puis sur Laser. «  J’ai eu une jeunesse très sportive et centrée sur la voile, le kitesurf... même si j’ai toujours pratiqué un sport co en parallèle.  » Les virées en ville et les soirées festives briochines, il ne connaît pas. «  Je n’étais pas du tout dans cet état d’esprit  », confie Anthony Marchand.

À 18 ans, il intègre le Pôle France voile, à Brest. «  Je passais une moitié de la semaine en cours – en bac pro mécanique au lycée Sacré-Cœur (Saint-Brieuc) – et l’autre, à Brest.  » L’objectif : se préparer aux jeux Olympiques. Mais «  au bout de 2 ans, j’ai arrêté l’olympisme. J’étais trop lourd pour être barreur...  » Ses parents l’incitent à s’inscrire en Staps, à Saint-Brieuc. «  Moi, j’avais envie de travailler sur des trimarans et j’ai dégoté un stage auprès d’Yvon Bourgnon.  » "Sauvé", il largue les amarres pour La Trinité où il est préparateur de bateau. Du bricolage, beaucoup de navigation... Le travail lui sied à merveille et il l’exerce plus longtemps que prévu. Lors de son pot de fin de stage, il apprend que Sodebo, le trimaran de Thomas Coville, est en difficulté au large de la Trinité. «  Avec un copain, on est allé lui porter secours  », se souvient-il. Un sauvetage qui lui vaut d’intégrer l’équipe du skipper, lui aussi Plérinais.

En parallèle de son travail de préparateur, il achète un Mini 6.50 et se lance dans la course au large en participant à des régates en équipage et en solo. Avec Ronan Treussart, qu’il a rencontré au Légué, il découvre le circuit Figaro. «  Il m’a emmené sur la Cap Istanbul et sur le Tour de Bretagne.  »

En 2009, il remporte le challenge Espoir Région Bretagne. Un véritable sésame pour un jeune skipper. «  En gagnant ce challenge, tu décroches un bateau, quatre ans de sponsoring, de salaire, de frais de fonctionnement... Tu arrives au centre d’entraînement de Port-la-Forêt (Finistère) où tu côtoies des Michel Desjoyaux, des Yann Eliès... Tu participes à toutes les courses au large...  » D’excellentes conditions pour engranger de bons résultats comme le titre de premier bizut, lors de la Solitaire du Figaro, en 2010. Après ces quatre années, pour continuer en Figaro, il doit créer sa propre société, acheter un voilier et chercher un sponsor qu’il trouve... «  par hasard, à un mariage  ». «  Le jour même, Michel Desjoyaux m’appelait pour participer avec lui à la Volvo Ocean Race.  » Anthony Marchand enchaîne alors une Solitaire du Figaro et un tour du monde en équipage. «  Une sacrée expérience que j’aimerais revivre, confie le marin qui préfère pourtant naviguer en solo. En équipage, chacun a son poste et y reste. Moi, j’aime tout faire : manœuvrer, définir ma tactique, choisir ma trajectoire, analyser la météo...  ».

Fin août 2020, Anthony Marchand participe à sa 10e Solitaire du Figaro au départ de Saint-Quay-Portrieux pour finir sur la 3ème marche du podium. Déjà en 2018, la course avait fait escale au Légué et l’enfant du pays avait remporté – «  que d’émotions  » – la première étape qui reliait Le Havre à la baie de Saint-Brieuc. «  Pour ma part, être de la baie n’est pas vraiment un atout. Durant mes premières années de voile, je ne naviguais qu’en bord de plage. Je ne me suis mis à la course au large que plus tard. Je connais donc mal les recoins de la baie de Saint-Brieuc que je n’apprécie pas moins pour autant.  » Fidèle à la Figaro, Anthony Marchand rêve de lui faire une infidélité pour se lancer, dans le Vendée Globe, la seule course à la voile autour du monde, en solitaire, sans escale et sans assistance. Anthony Marchand a remporté le Spi Ouest-France Banque Populaire Grand Ouest en Mach 6.50 avec Actual, l'année 2022 s'annonce chargée (Drheam Cup,  Cowes – Dinard, le tour de l‘île de Wight, des stages à Port-la-Forêt). 

Julie Bresset est une sportive costarmoricaine. Elle est aussi une des ambassadrices de Saint-Brieuc Armor Agglomération. Nous l'avons rencontrée à Ploeuc-L'Hermitage, sa ville natale, où elle aime venir se ressourcer. Championne olympique de VTT cross-country à Londres en 2012, elle vient d'arrêter sa carrière et manage une équipe professionnelle de VTT. Le site de la côte des Halles, à Ploeuc-L'Hermitage est pour elle -"ma terre d’entraînement où j'ai pu faire mes plus belles séances avant mes grandes échéances de VTT". 

Arnaud Morin est entraîneur de chevaux de course depuis 30 ans. Il est aussi un des ambassadeurs de Saint-Brieuc Armor Agglomération. Nous l'avons rencontré à Hillion, près des dunes de Bon Abri où il est installé. Il entraine actuellement 25 chevaux, des trotteurs français principalement pour les courses à l'attelage.